mardi, septembre 26, 2006

Rembrandt, in situ



Esquisse —

En regardant certains dessins de Rembrandt. J’y pense déjà ; il me souvient d’où se trouvent les miens, souvenir qui inclus les dessins que je n’ai pas encore fait.

Avant de dessiner il me faut à nouveau trouver cet endroit — ce lieu où l’on dessine : un dessin n’est jamais le notre que par cette option qui nous voue dans un premier temps à l’apprentissage et ensuite à l’éclosion. Commencer un dessin c’est accepter la leçon.
Quand je peux enfin apprendre de moi-même c’est que la lignée se dessine à travers eux. Tout commencement, sans cette acquisition me paraît impossible, voir fallacieux.
On ne s’entendra jamais quant au dessin.

Exit.

Massif du seul jeté. Les traits ont même attribut que la voix, si l’on écoute son grain perlé : souillure, effet de charbon, suie, une traînée de joie qui coule. Aussi parfois si c’est la nuit l’étoffe d’un râle… le mien, le sien ; l’assentiment n’a plus des mots — aisance dans la pâturage ; la langue à cet effet : apport

grand format

langue, à faire vibrer, matérielle, tout comme lèvres

Quant au dessins — notes à venir


ø

Pendant ce temps



Des Œuvres Klossowski et de Bellmer sont exposées à Londres. La Galerie Whitechapel de Londres présente une double exposition des artistes Pierre Klossowski et Hans Bellmer. (Manu press)

"Diane et Actéon", une des œuvres de Klossowski (1905-2001).


A lire de P. Klossowski « Le bain de Diane » aux éditions Gallimard

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Chez nous : Bajar a los berros

http://www.mainframe.cl/diccionario/diccionario.php?letra=B