37x46 cm
jeudi, mars 29, 2007
mercredi, mars 28, 2007
mardi, mars 27, 2007
dimanche, mars 25, 2007
samedi, mars 24, 2007
vendredi, mars 23, 2007
jeudi, mars 22, 2007
mercredi, mars 21, 2007
Praxitèle ou, de qui suis-je contemporain ?
Premier sculpteur grec à oser représenter un nu féminin, Praxitèle, dont la carrière se situe au IVe siècle avant J.-C., reste aujourd’hui l’un des plus fameux artistes de l’Antiquité.
Louvre: Antiquités grecques étrusques et romaines
du 23-03-2007 au 18-06-2007
L’héritage de Praxitèle - le corps exalté
En figurant le corps nu et idéalisé de la femme, Praxitèle a renouvelé une statuaire grecque qui ne suggérait les formes féminines, parfois un peu massives, qu'au travers de savants drapés. Praxitèle propose au contraire une image érotique et féminine des corps, mêmes masculins. Ses héritiers, et parmi ceux-ci Michel-Ange, Canova et Thorvaldsen, prolongent cette approche figurative.
De qui suis-je contemporain ?
C’était la question que posait Roland Barthes lors de sa première leçon du 12 janvier 1977 au Collège de France.
C’est la question que certains peuvent se poser à l’occasion de l’exposition Praxitèle.
C’est une question que l’on peut se poser au sujet de Michel-Ange, à qui seulement vingt siècles séparent de son illustre prédécesseur.
C’est la question que se posait Rodin en s’interrogeant sur ce dernier, de seulement cinq siècles son aîné...
mardi, mars 20, 2007
Dessins pour Toulouse, 03
lundi, mars 19, 2007
Dessins pour Toulouse, suite
Y dorment nos jeux. Placés par ta main même.
Blosons durcis, ce matin, comme du miel de cerisier"
R. Char
dimanche, mars 18, 2007
Dessins p/ Toulouse galerie 02
Dessins p/ Toulouse galerie 01
vendredi, mars 16, 2007
jeudi, mars 15, 2007
mercredi, mars 14, 2007
Pittura Amorosa 04
lundi, mars 12, 2007
dimanche, mars 11, 2007
samedi, mars 10, 2007
Pittura Amorosa
Le problème
Quand un arrêt dans la marche semble nous imposer le déplaisir, et que c’est la crainte, et que nous soupçonnons l’inhibition — que doit-on faire ?
C’était un peu la question que je me posais… seulement, dans le malaise tout est plus diffus, trouble, incertain…
Je ne voyais plus les couleurs, pourquoi ? Je n’éprouvais que rarement des sensations dépassant ce seuil estompé et morne d’où rien ne semblait venir, était-ce la fatigue ? Mais, si l’épuisement était réel, n'est-ce pas tout aussi vrai que devant de tons diaprés l’œil attenu les contrastes pour contrecarrer l’intensité? Je ne devrai pas m'inquiéter. Aussi quand nous peignons, cette régulation du diaphragme modifie les couleurs perçues… (« des vases communiquant… » J’entendais la voix de Bruno me parler des surréalistes…)
Mais cela ne me faisait pas oublier que la conscience, comme la loi Moral, est achrome ; malheur au peintre qui s’en approche sans l’apport… Je m'imaginais être sous le coup d'un dictat... l'angoisse était là parce que j'avais plaidé coupable...
Je devais me reposer un peu.
Je devais reprendre à partir du dessin… je suis parti acheter des cartons
L’intention
Profiter de l’occasion pour présenter dans le blog le trajet. Apprendre moi-même de ce travail en m’y attardant plus que d’habitude sur un dessins. Prendre des photos des étapes intermédiaires, m’interroger, chercher, voir de plus près, en écrire quelques lignes. Essayer de rester fidèle à cette démarche mienne qui non seulement a besoin du jour et des pinceaux mais aussi de s’en rafraîchir la vue en lisant quelques auteurs de bonne compagnie.
(Proust / Le temps retrouvé)
go to à Pittura Amorosa 02